QUESTIONS DE TEMPS RELATIVES A NOTRE ENVIRONNEMENT |
NB: Cette documentation est en partie une compilation de
lectures de divers sites, qui seront cités comme de bons sites de référence.
Avec les outils du BDL ( EPHEMERIDES), l'ensemble peut être téléchargé sous EPHEMBDL.ZIP
NB
1: Il n'est pas question dans ce chapitre de rassembler un maximum de données
sur les astres mais de fournir les notions essentielles sur des définitions de
temps de notre vie courante.
NB2
: On gardera en mémoire que le terme de PERIODE ORBITALE ne peut
être accordé qu'à des mouvements képlériens sur des orbites
fermées, ce qui est proche de la réalité mais qui demande à être affiné
si l'on cherche une grande précision.
I GENERALITES :
Dans
le cas d'un astre orbitant autour d'une étoile, on distingue deux rotations :
Période de rotation sidérale: temps séparant 2 passages successifs d'une étoile
quelconque dans un méridien donné de l'astre( choisi mais naturellement
n'importe lequel ).
Période de rotation synodique: temps séparant 2 passages successifs de l'étoile
attractive dans un méridien donné de l'astre( choisi mais naturellement
n'importe lequel ).
La
rotation synodique correspond à la durée du jour, dans le cas du soleil et des
planètes qui l'entourent.
NB:
Les planètes tournant en général dans le
même sens sur elles-mêmes et autour de leur étoile centrale, la période de
rotation synodique est plus grande que celle de rotation sidérale. Pour la
terre, la période de rotation sidérale vaut 23 h 56 mn 4 s et sa période
synodique moyenne 24 h (soit environ de 4 mn plus longue).
D'où le nom de JOUR
SOLAIRE MOYEN
Vénus est
une exception : planète rétrograde dont la rotation s'effectue en sens inverse
de sa révolution orbitale, a une période de rotation synodique de117 jours plus
petite que la période de rotation sidérale de 243 jours.
Période de rotation anomalistique : temps séparant deux passages successifs de la
planète au périhélie(planètes/soleil) ou au périgée( lune/terre).
PERIODE SYNODIQUE D'UNE PLANETE :
A
ne pas confondre avec la période de rotation synodique. Toutes les 2 sont relatives
à une configuration qui se renouvelle.
La
PERIODE SYNODIQUE d'une planète est le temps séparant 2 oppositions de
ces astres. Par exemple Terre Soleil et Vénus en quasi alignement, ce qui
signifie que le plan (P) contenant les centres des planètes et le soleil est
perpendiculaire à l'écliptique.
NB:
L'alignement parfait est rarement réalisé.
Le
lecteur vérifiera que cette période T est liées à celle des plantes P1 et P2,
par :
Par exemple
: la période de révolution synodique de Mars est de 780 jours, le Soleil, la
Terre et Mars sont en conjonction en moyenne tous les 780 jours ( ce qui dans
ce cas correspond aux oppositions de Mars vue depuis la Terre ).
NB:
On pourra noter, que cette période est identique à celle de répétitivité d'une
fenêtre de tir de type Hohmann, de la Terre vers Mars. Ceci est d'ailleurs vrai
pour toutes les planètes.
Vénus |
Mars |
Jupiter |
Saturne |
582.5 j |
780 j |
398.6 j |
378.8 j |
II LES MESURES DE TEMPS TERRESTRE :
Année,
mois, jour sont sur Terre intimement liés aux cycles du soleil vu de la terre(
ou son inverse ) ou de la lune, ou des deux.
A- L'ANNEE
Elle
correspond à l'intervalle de temps séparant deux passages consécutifs de la
Terre dans une même direction stellaire( vue du Soleil ) elle est égale en 2000
à 365,2563 jours (soit 365 jours 6 h 9 mn 9.8 s).
2°) ANNEE TROPIQUE ( ou SOLAIRE, NATURELLE, EQUINOCTIALE
ou ASTRONOMIQUE )
Temps
séparant deux passages consécutifs de la Terre à l'équinoxe de printemps. Pas
vraiment constante, sa valeur moyenne est de 365,2421905166 jours (soit 365
jours 5h 48m 46s. C'est sur cette durée que s'appuie le calendrier grégorien.
La
valeur de l'année tropique n'est pas constante, et varie lentement en fonction
du temps
TS =365,242 190 516 6 - 61,560 7 x 10 -6 T - 68,4 x
10 -9 T 2 + 263,0 x 10 -9 T 3+ 3,2
x 10 -9 T 4
Avec
T est en millénaires juliens rapportés à JJ2000.
T = JJ2000 / 365 250 où JJ est le jour julien de l'époque de calcul, en jours
juliens nouveaux d'origine 1/1/2000 12 h 00 mn 00 s. Voir note jour
julien.
L'écart
minime entre les 2 périodes provient de la direction des équinoxes ( ligne
vernale g ) qui n'est pas exactement fixe.
Elle est animée d'un mouvement de précession ( dit de Hipparque ) dans le sens
rétrograde ( 50",2877 par an actuellement ), aussi appelé précession des
équinoxes, conséquence du mouvement conique quasi périodique de l'axe de
rotation de la Terre en 25800 ans autour d'un axe normal à l'écliptique. Voir
note.
REMARQUE: Si la
ligne vernale était fixe , l'année sidérale et l'année tropique et l'année
sidérale serait égales.
Un petit calcul éclaircira le problème:
La
différence entre les 2 années est de Dt
= 0.2563-0.2422 = 0.0141 jour, or la terre fait le tour du Soleil en 365.24
jours( précision suffisante pour ce calcul ), donc 360°.
Le
reliquat de 0.0141 jour donne 50".32
d'arc soit la valeur de la précession de Hipparque,
compte non tenu d'autres perturbations.
3°) ANNEE CIVILE ou ANNEE VAGUE:
Tout
le monde connaît sa valeur de 365 jours solaires
moyens de 24 h exactement. Par rapport à l'année tropique il faut
corriger 0.24219 jours/an, ce qui est presque réalisé tous les 4 ans ( années
bissextiles) en rajoutant 1 jour. Il reste alors un petit reliquat à corriger
de 0.25-0.24219=0.00781 j/an ce qui demande environ 1 jour tous les 128 ans.
Ci-dessous des variantes:
L'ANNEE BISSEXTILE compte 366 jours.
L'ANNEE JULIENNE . compte exactement 365,25 jours sur un cycle de quatre
ans ( trois ans de 365 jours, puis une année de 366 jours)
L'ANNEE GREGORIENNE compte 365,242 5 jours pour un
cycle de 400 ans comprenant 3 siècles constitué de 24 cycles juliens suivis de
4 années de 365 jours et un siècle constitué de 25 cycles juliens.
Une année
anomalistique est, en astronomie, la durée entre deux passages
successifs de d'une planète à son périhélie. Le périgée a un lent mouvement de
rotation dans l'écliptique d'une durée de 130000 ans.
Pour
la Terre, en 2000, la valeur de l'année anomalistique était de
365,259635864 jours (soit environ 365 jours 6 h 13 min et 53 s).
A
cause des influences gravitationnelles des autres planètes du système solaire,
le périhélie se déplace légèrement à chaque fois (par rapport aux étoiles,
supposées fixes ) et une année anomalistique est légèrement plus
longue qu'une année sidérale.
5°) ANECDOTIQUE : L'ANNEE PLATONIQUE ou GRANDE ANNEE
dure environ 25 800 ans. Elle
est liée à la précession des équinoxes dite de Hipparque.
6°) ANNEE DRACONITIQUE ou ANNEE ECLIPTIQUE : sépare deux passages consécutifs
de la Terre dans la direction du nœud ascendant lunaire nœud ascendant de
l'orbite lunaire. En 2000 elle vaut 346 jours 14 heures 24 minutes soit 346,6
jours.
B- LE MOIS
Mois - Le mois est une subdivision de l'année, qui dérive
de la révolution de la Lune autour de la Terre.
Plusieurs définitions sont possibles, suivant le contexte astronomique ou calendaire.
1°) LE MOIS SOLAIRE : temps mis par le Soleil pour parcourir 30° (le
douzième de l'écliptique). Ces mois sont inégaux à cause du mouvement
irrégulier du Soleil vu de la Terre ou réciproquement. C'est le mois civil.
2°) LE MOIS LUNAIRE ou LUNAISON ou PERIODE
SYNODIQUE: le temps séparant deux phases consécutives de même nom de la
Lune( par exemple 2 nouvelles lune). C'est aussi la révolution synodique de la
lune. Sa durée est de 29 jours 12 h 44 minutes 2,9
s = 29.5305891 j .
3°) LE MOIS LUNAIRE PERIODIQUE: temps mis par la Lune emploie pour revenir à une
même longitude terrestre. Aussi appelée révolution tropique de la Lune, sa
durée est de 27 j 7 h 43 mn 4,7, s = 27.3215821 j.
4°) LE MOIS DRACONITIQUE ou MOIS DE LATITUDE: intervalle de temps entre deux
passages consécutifs de la Lune à son nœud ascendant. On l'appelle aussi
révolution draconitique de durée 27 j 5h 5 mn 36 s
= 27.212222 j.
5°) LE MOIS ANOMALISTIQUE ou la révolution anomalistique de la lune de 27 j 13 h 18 mn 33 s = 27.5545486 j qui sépare
deux passages consécutifs de la lune au périgée.
III SPECIFICITES DE LA LUNE :
1°)
LES MOIS LUNAIRES:
Comme
les diverses périodes rattachées au mouvement lunaire voisinent 30 jours, elles
s'appelleront "mois".
a) MOIS ANOMALISTIQUE
Valant 27 j 13 h 18 mn 33 s
ce temps sépare deux passages consécutifs de la lune au périgée. Ceci ne
signifie pas que 2 périgées consécutifs soient situés au même endroit ou même
direction .
b) MOIS DRACONITIQUE ou MOIS DE LATITUDE
valant 27 j 5 h 5 mn 36 s sépare deux
passages consécutifs de la Lune à son nœud ascendant sur l'écliptique. Pour un satellite, c'est l'équivalent de la période
nodale.
Ceci ne signifie pas que 2 nœuds ascendants consécutifs
soient au même endroit ou même direction.
Le nœud ascendant est un point géométrique parfaitement
défini dont la position évolue au cours du temps sous l'effet d'une lente
précession provoquée par les perturbations. C'est le point où l'orbite lunaire
traverse l'écliptique en se dirigeant vers le nord écliptique.
c) PERIODE SIDERALE de rotation axiale :
Cette
définition est commune à tous les astres.
La
révolution sidérale correspond à l’intervalle de temps qui sépare deux passages
consécutifs d'une étoile dans un méridien donné de la planète.
Pour
la lune c'est 27 jours 7 heures 43 minutes et 11,6
secondes.
d) LUNAISON :
Une
lunaison est l’intervalle de temps séparant entre deux aspects identiques du
satellite ( par exemple deux phases de nouvelle Lune consécutives ),
c’est-à-dire 29,53 jours ou 29 j 12 h 44 mn 2,9 s
2°) LE MOUVEMENT DE REGRESSION DU PLAN ORBITAL LUNAIRE:
C'est
la dérive de la longitude nodale de période 18,6
ans, avec le plan orbital tournant en restant tangent à un cône très
évasé de 85° autour du nord écliptique), entraînant la ligne des nœuds qui
tourne dans l'écliptique. Le plan de l’orbite lunaire et la ligne des nœuds se
retrouvent dans la même position tous les 18,6 ans.
3°) LE SAROS et les ECLIPSES de Soleil:
C'est
le temps d'un cycle lunaire intimement lié à la périodicité des éclipses de
soleil par la lune.
a)
Conditions requises :
Admettons
qu'une grande éclipse totale de soleil ait lieu, avec une couverture
maximum du soleil. Elle se reproduira quasiment identique, après un temps T appelé SAROS
*
La configuration céleste qui permet à la Lune d’occulter totalement le Soleil
est bien connue et évidente, il faut un alignement
Terre-Lune-Soleil. Ce qui nécessite 3 conditions
(I)
La terre et le soleil étant dans l'écliptique, la lune doit y être aussi, ce
qui n'arrive que lorsqu'elle passe au voisinage d'un nœud. C'est donc la
période draconitique qui est concernée TD
= 27.21222 j
Donc
T est un nombre entier de périodes draconitiques: T
= k TD
(II)
L'alignement des astres correspond à la reproduction d'une configuration
synodique, ce qui signifie que T est aussi un nombre entier de périodes
synodiques TS = 29.530589 j & T = n
TS
(III)
La couverture maximum du Soleil indique que la lune doit cacher au maximum le
soleil, donc elle est au plus près de la Terre soit au voisinage de son
périgée, où elle repasse après chaque période anomalistique, donc T est un
nombre entier de périodes anomalistiques TA
= 27.554549 j & T = m TA
b)
Conséquences :
Le
lecteur aura vite compris que les conditions (I)+(II)+(III) ne peuvent être satisfaites
que sur un temps très long, ce qui explique la
rareté des éclipses exceptionnelles dites "du siècle"
Bien
sûr on ne peut pas parler d'un PGCD pour des nombres non entiers, et c'est par
balayage des multiples possibles et les répétitions des éclipses observées, que
l'on peut calculer une valeur du SAROS acceptable pour une prévision de
"bonne éclipse".
RESULTAT
:
1
SAROS = 18 ans et 11 jours pour une année bissextile
1
SAROS = 18 ans et 10 jours pour une année normale
On
a alors:
1 SAROS = 6585.5 jours = 18 ans 11 jours |
= ( 239 - 0.0079 )TA |
Au bout d'un Saros, la Lune est 2,8° en amont de sa position orbitale précédente. L'entier m vaut m = 239 |
= ( 223 - 0.04 )TS |
Soit 223 périodes synodiques à 0.04 périodes, ce qui donne n = 223 |
|
= ( 242 - 0.005 ) TD |
Soit 242 périodes draconitiques à 0.005 périodes près, donc k = 242. |
EXPLICATIONS :
Attendons
18 ans exactement. La ligne des nœuds lunaire ne retrouve sa configuration
originale que dans 0.6 ans, elle est donc à 0.6x360°/18.6 = 11°.613 de cette
position idéale.
Pour
combler ce retard angulaire de 11°.6, la terre sur son orbite parcourue en 365,25
ans mettra un temps de (360°/365.25)*11°.6= 11.43 jours
On
retrouve bien l'approximation du cycle de SAROS de 18 ans 11 jours. Tous nos
acteurs ( Terre, Soleil, Lune ) seront dans une configuration très voisine
d'une l'éclipse. Seuls des calculs plus fins donneront la date, heure et
localisation d'observation terrestre précises.
Sa
durée est de 358 mois synodiques lunaires ( 28,9
ans ) après lequel les mêmes éclipses se reproduisent quasiment à la même
longitude géographique mais à une latitude opposée.
5°) LE CYCLE LUNAIRE EXELIGMOS ou TRIPLE SAROS :
D'une
période de 669 mois synodiques lunaires ou 54 ans
33 jours, appelé Exeligmos ou triple Saros,
un cycle d'éclipses similaires se reproduit à la même longitude.
C- LE JOUR
LE JOUR SIDERAL :
Durée
de la rotation de la Terre sur elle-même , environ TS = 23 heures 56
minutes et 4 secondes. Soit 86164 s, en constante augmentation à cause des
dissipations d'énergie internes( viscosité des magmas ) et externes( marées,
mouvements tectoniques )
LE JOUR SOLAIRE VRAI :
Durée
séparant deux levers , deux passages consécutifs du Soleil au méridien . A
cause de la non uniformité du mouvement de la Terre autour du Soleil, ou encore
de l'excentricité de l'orbite terrestre, Il évolue de 23 h 59 mn 39 s à 24 h 0
mn 30 s , il vaut donc en moyenne 24 heures.
LE JOUR SOLAIRE MOYEN :
Exactement
TJ = 24 heures. C'est la durée du jour civil de notre quotidien, et
le tempo de nos montres et horloges en tout genre
NOTE DE CALCUL
: Partons du mouvement de rotation axiale de la terre , la rotation sidérale,
pour laquelle toutes les 86164.1 s, une même étoile passe dans un méridien
choisi du globe.
Nous
sommes le jour J et le soleil est dans ce méridien, le lendemain jour J+1, nous
retrouvons au bout du "jour solaire vrai" de durée TJ, le
soleil dans ce même méridien.
Entre
temps la Terre a effectué un tour complet stellaire durant TS, et à
cause du déplacement de la terre sur son orbite, elle doit encore tourner une
fraction de tour sur elle-même, pour retrouver le soleil dans le méridien au
temps TJ .
Nous
expliquons déjà la différence de durée, avec TS < TJ .
RELATION TS <
TJ : On peut dire qu'en une année
tropique de 365.2421905166 jours solaires moyens de durée TJ, la Terre a tourné
sur elle-même 365.242..et 1 tour de plus en sidéral par rapport aux
étoiles.
C'est
bien la rotation sidérale connue.
III CURIOSITE SOLAIRE à ANALEMMES du soleil:
Cette
rubrique intéressera peut-être des photographes amateurs de photos originales.
Celles des analemmes du Soleil.
DEFINITION :
En
un lieu terrestre caractérisé
par ses coordonnées géographiques ( Longitude L et latitude l ), pour une heure H fixe de la journée, on appelle ANALEMME DU SOLEIL,
POUR CE LIEU et POUR CETTE HEURE FIXEE, la trajectoire des positions du Soleil,
vu de ce lieu tous les jours à la même heure H, dans un repère local de ce
lieu, disons Est - Nord - Zénith.
POUR UN PHOTOGRAPHE :
L'intérêt
pour un amateur de prise de vue est de représenter ces positions du soleil, sur
un paysage fixe. Ce qui est une performance exceptionnelle d'arriver à
superposer sans erreur de pose, une douzaine ou plus de positions du Soleil sur
une même photographie.
LE
RESULTAT EST UNE FIGURE EN HUIT,
que je ne peux pas présenter pour une question de copyright. Voir plus bas une
représentation dessinée.
Pour
se convaincre de l'existence de ces trajectoires et les visualiser, voir les
sites :
Astrosurf, et aussi
une belle collection
d'analemmes avec quelques trajectoires journalières du Soleil, continuez
par une explication
physique simple, une
autre un peu plus précise, et terminez par une merveilleuse visualisation
à Delphes ( Grèce )
EXPLICATION SUCCINCTE :
L'intérêt
pour un amateur de prise de vue est de représenter ces positions du soleil, sur
un paysage fixe. Ce qui est une performance exceptionnelle.
L'étudiant
intéressé pourra y trouver un sujet de trajectographie, lui permettant de réviser
ses connaissances sur les paramètres orbitaux et la notion d'heure locale. Bien
évidemment, il lui faudra réaliser un programme informatique.
|
Ci-contre un analemme à 12 h, la coordonnée
verticale est la hauteur du soleil sur l'horizon, et on constate qu'elle
varie, avec en position basse le solstice d'hiver et en position haute celui
d'été. La coordonnée horizontale traduit le décalage horaire du à
la forme elliptique de l'orbite terrestre, avec augmentation de la vitesse
angulaire au périgée ( en janvier ) et diminution à l'apogée ( en juillet ) . Ici l'analemme est presque vertical, alors que celui d'un
matin est incliné vers la gauche et celui d'une fin d'après midi, est incliné
vers la droite. En zone arctique une
partie ne serait pas visible. |
IV SITES CONCERNES ( liste non exhaustive )
Attention:
Les encyclopédies libre accès commencent à fleurir sur la "toile",
pas forcément avec des réponses sérieuses. Il faut donc consulter plusieurs
sites avant de conclure à la pertinence d'une information. Cette remarque vaut
naturellement pour mes écrits !!! Car l'erreur est humaine .
* http://media4.obspm.fr/public/IUFM/chapitre2/souschapitre1/section4/page1/section2_1_4_1.html * Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides (http://www.imcce.fr/serveur.html) : * Les éclipses de Soleil (http://www.imcce.fr/ephem/eclipses/soleil/Soleil.html ) * Les éclipses de Lune (http://www.imcce.fr/ephem/eclipses/lune/lune.html ) * Calendrier ( http://perso.wanadoo.fr/robert.delclos/calendrier.htm ) * Jour semaine (http://histoiredechiffres.neuf.fr/calendrier/jour,mois...htm ) * Eclipses de Lune (http://fr.wikipedia.org/wiki/Exeligmos) * Bureau des longitudes ( http://www.imcce.fr/Granpub/Promenade/pages3/325.html#echelles ) * Glossaire d'astronomie ( http://mintaka.free.fr/glossaire.htm ) * Site d'astronomes du Québec ( http://www2.globetrotter.net/faaq/bibliotheque/systemesolaire/bellt300.htm ) |
Guiziou Robert décembre 2004, sept 2011